Bonjour à toutes et à tous,
Réponse à Abysse : par tes réflexions Abysse, nous sommes sur la même longueur d'onde. Même les variations que l'on peut faire sur cette façon de raisonner ne produit rien. J'ai déjà étudié cette façon de voir, entre autre avec la somme de 666 et un hypothétique découpage pouvant être un sous-multiple de 666 sans jamais avoir obtenu un quelconque avantage.
Petit couac de ma part : 666 / 37 = 18 car il a trente-sept cases sur le cylindre. Oui tu as en effet raison Abysse, le poids moyen est de 18 et donc pour deux résultats consécutifs le poids moyen passe à 36 et non à 37 comme je l'avais supposé.
Permettez moi d'emprunter d'autres voies de réflexion, je rappelle à tous que je n'ai qu'un CAP de cuisine !
Arrête de te dévaloriser comme ça, Varenne ! Il n'y a pas d'un coté les diplômes et de l'autre les ignares. Non, cela ne fonctionne pas comme ça dans la vie ! Cela se saurait depuis longtemps. N'importe qui peut avoir de très bonnes idées. Mais toute la grande difficulté est justement de savoir d'une part l'exposer et d'autre part de la mettre en valeur avec des arguments porteurs.
Alors je t'en conjure, Varenne, ne t'arrête pas à des considérations de dévalorisation de ta personne. Tu tiens le bon bout alors persévère.
Je me rappelle d'une anecdote du comportement dans la vie qu'un chef de projet me disait souvent :
Il y a une autre attitude, je dirais celle de la grenouille qui est tombée dans un verre de lait. Vous connaissez l’anecdote ? Il y a deux grenouilles qui tombent chacune dans un verre de lait. Alors au début, elles se battent les deux contre l’adversité, essaient de ne pas rester au fond du verre, car même si ce sont des grenouilles, elles doivent quand même de temps en temps aller respirer. Elles se battent, et battent leurs pattes, mais le verre est lisse à l’intérieur, alors l’une des grenouilles se décourage, et se laisser tomber au fond du verre. Mais l’autre grenouille elle persévère, elle bat des pattes, et elle continue, de telle sorte que le lait à force d’être battu gentiment se transforme en beurre. Et le lait, qui au début était un élément contraire, devient un élément qui aide la grenouille à sortir du verre.
Cette anecdote fait sourire, mais je crois qu’elle révèle une vérité de la vie. Parfois, certaines circonstances nous semblent uniquement contraires, mais peu à peu, elles se transforment en beurre qui nous aident à sortir d’un verre.
(je connaissais l'anecdote, et je l'ai récupéré sur le net pour illustrer le bon comportement que doit avoir Varenne dans la vie. Je pourrais aussi ajouter "au bon beurre ...".
Bonne anniversaire Varenne ! ! !
Au fait, moi aussi je suis Gémeaux. Mon anniversaire était le 12 juin.
@+
pour faire simple :
"Aide-toy, le Ciel t’aidera "
(Jean de la Fontaine, « Le Chartier embourbé »)
pour faire simple :
"Aide-toy, le Ciel t’aidera "
(Jean de la Fontaine, « Le Chartier embourbé »)
Salut Tonton Mezig
http://www.jdlf.com/lesfables/livrevii/ ... sdelapeste
j'adore la conclusion
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Cordialement
Varenne888
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
La période où La Fontaine a écrit ça correspond à l'achèvement du processus visant à faire du roi de France la source de toute justice. Tout s'explique !
allez comme c'est mon jour en attendant l'eclipse de lune
je vous livre la meilleure fable pour moi
Le Loup et le Chien
Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
" Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
" Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor